Découvrez comment Maserati fut la première marque de voiture de luxe à envisager le e-commerce auprès du public chinois en partenariat avec Alibala. 100 exemplaires du modèle Levante Suv se vendirent en à peine 18 secondes. Deux ans plus tard, la marque collabore à présent avec le distributeur en ligne pour développer ses datas et enrichir ses développements en matière d’intelligence artificielle, pour proposer des expériences clients « enrichies » dans ses boutiques de Beijing et Sanghai.
Le marché chinois est devenu le premier marché mondial pour le secteur automobile avec des clients de plus en plus jeunes, âgés de 18-24 ans très enclins au e-commerce. Découvrez comment les concessionnaires, en pleine réflexion, sont en train de mettre en place des espaces qui fusionnent expériences digitales et boutiques physiques.
La faible croissance du marché automobile chinois en 2017 ne présume en rien de l’avenir, car la Chine a soif d’automobiles. Pour 2030, le Cabinet McKinsey prévoit un marché à plus de 40 millions d’unités annuelles, qui représenterait plus d’un tiers du marché mondial. Comme l’écrivait récemment Brice Perrin, pour L’Auto Journal « le parc automobile chinois compte aujourd’hui plus de 185 millions de véhicules (contre, par exemple, 32 millions en France), mais le pays conserve encore un gros potentiel car le taux d’équipement est très faible : la Chine se contente de 133 voitures par 1 000 habitants, contre 477 en France et 500 en moyenne pour l’Europe). Il reste de la marge pour les constructeurs et leurs réseaux ».
Tmall* a mis en place des partenariats avec plus de la moitié des marques de luxe en Chine, mais Maserati est le seul à avoir lancé un smart store offline.
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Tmall*, appartient au groupe Alibaba qui contrôle près de 90% du marché chinois des transactions en ligne (environ 420 et 650 milliards de dollars annuels d’ici 2020). Tmall et Taobao ont 60% de part de marché en Chine e-commerce BtC.